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L’autonomie d’un VTTAE

Vous le savez, ce n’est pas facile de connaître l’autonomie d’un VTTAE.

Ce qu’on sait avec certitude, c’est que l’autonomie dépend de plusieurs facteurs. En voici la liste :

• le type de terrain (le plus ça monte, plus ça consomme)
• le mode d’assistance (moins c’est "ECO", plus ça consomme)
• le revêtement du sol (moins c’est lisse et dur, plus ça consomme)
• la vitesse de déplacement (plus elle augmente, plus ça va consommer)
• le vent de face (plus il est fort, plus ça consomme)
• la température (plus elle baisse, plus la batterie va être impactée)
• le vélo bien équipé et entretenu (batterie usée, état et pression des pneus, chaîne ne fonctionnant pas correctement)
• l’expérience du cycliste (gère plus ou moins bien les changements de vitesse, la bonne cadence de pédalage)
• le poids du cycliste équipé (moins on est lourd, moins on consomme)
• les arrêts et redémarrages (le plus il y en a, le plus on consomme)
• l’usage des freins (plus on les utilise, plus on consomme)

Les conseils

 adapter sa position cycliste pour réduire la prise au vent
 choisir ses trajectoires sur la ligne de moins grande pente
 rouler à l’endroit où le sol nous freine le moins
 pédaler à une cadence entre 60 et 80 tr/min
 programmer ses arrêts et redémarrage en descente
 mettre une goutte d’huile sur la chaine régulièrement
 vérifier la rotation libre des roues
 régler les cales de ses chaussures
 choisir en live la stratégie de passage des difficultés sur son trajet

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